Les indiens s’étaient aperçus que les fèves n’avaient pas du tout le même goût lorsqu’elles étaient fermentées. En effet, en tombant dans la vase sur le sol, et grâce à la chaleur et l’humidité elles fermentaient puis finissaient par pourrir.
Or, si elles restaient à fermenter pendant environ une semaine et qu’on les rinçait bien soigneusement, elles développaient un très agréable goût de cacao.
Les indiens eurent donc l’idée de récolter les fruits avant qu’ils ne tombent et ils les battirent dans la terre humide pour les faire fermenter. Il suffisait ensuite d’enlever les morceaux de cabosses pourries et de les laver à grandes eaux.
L’opération suivante consistait à laisser sécher les fèves au soleil pour ensuite les faire griller. Ce procédé évitait le risque de les voir moisir. Pour parachever le travail et supprimer toutes les fibres qui auraient encore pu rester, les indiens les étalaient et les piétinaient longuement.
C’est parce qu’ils les avaient fait fermenter sur le sol humide que les indiens surnommèrent ces fèves, "cacao de terre".
Une fois grillées, pilées puis pétries, les boules de cacao servaient soit à l’alimentation, soit à la boisson.
Les indiens pouvaient dans certains cas en mélanger une partie à de l’eau et y ajouter un peu de farine de maïs, mais aussi s’ils pouvaient se le permettre, un peu de miel.
Or, si elles restaient à fermenter pendant environ une semaine et qu’on les rinçait bien soigneusement, elles développaient un très agréable goût de cacao.
Les indiens eurent donc l’idée de récolter les fruits avant qu’ils ne tombent et ils les battirent dans la terre humide pour les faire fermenter. Il suffisait ensuite d’enlever les morceaux de cabosses pourries et de les laver à grandes eaux.
L’opération suivante consistait à laisser sécher les fèves au soleil pour ensuite les faire griller. Ce procédé évitait le risque de les voir moisir. Pour parachever le travail et supprimer toutes les fibres qui auraient encore pu rester, les indiens les étalaient et les piétinaient longuement.
C’est parce qu’ils les avaient fait fermenter sur le sol humide que les indiens surnommèrent ces fèves, "cacao de terre".
Une fois grillées, pilées puis pétries, les boules de cacao servaient soit à l’alimentation, soit à la boisson.
Les indiens pouvaient dans certains cas en mélanger une partie à de l’eau et y ajouter un peu de farine de maïs, mais aussi s’ils pouvaient se le permettre, un peu de miel.
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